Conseil municipal de Catus

Un chemin qui n’existait pas

Au conseil municipal de rentrée de Catus, qui s’est tenu jeudi soir 13 septembre, le maire, Claude Taillardas, a annoncé le dénouement d’une très vieille affaire : celle du chemin de Blanchard. Grâce à l’action d’une habitante du hameau, qui a réussi à renouer un dialogue rompu il y a quarante ans, le chemin qui relie l’ancienne colonie de Blanchard au Lac Vert va enfin pouvoir être inscrit sur les plans cadastraux, au bénéfice de tous, à charge de la commune de faire les démarches légales (géomètre et enquête publique). «Une énorme épine qui sera retirée du pied de la commune», a conclu le maire.

«Un exemple de traitement écologique des effluents»

Mais ce conseil a aussi validé d’autres dossiers : celui de consultation des entreprises pour les travaux à la maison médicale, afin de relier l’actuelle maison avec le bâtiment voisin, l’ancienne perception, et ajouter trois bureaux (deux cabinets médicaux et un secrétariat) à une maison qui vient d’être labellisée établissement de santé pluridisciplinaire par l’ARS. Il a aussi attribué le chantier de la future station d’épuration de Catus à l’entreprise Capraro. L’occasion pour l’adjoint Jean Claude Sarlande d’annoncer la fin des travaux de chemisage, et le début de travaux plus invasifs, notamment dans la rue de l’Industrie, du 7 au 21 octobre. L’adjoint a annoncé que tous ces travaux sur l’assainissement vont faire du Catus «un exemple de traitement écologique de ses effluents». Enfin, les conseillers ont reçu le compte rendu des travaux de l’opération «bourg centre Occitanie», un contrat de plan d’accompagnement par la région, la commune, le Grand Cahors et le PETR pour donner à Catus les structures nécessaires pour renforcer son rôle de bourg centre de son bassin de vie : dynamiser le centre, conforter l’attractivité commerciale et résidentielle, valoriser le cadre naturel. Un plan d’action pour les années à venir.