St Valentin: Bisous

Les anthropologues attribuent l’origine du baiser et du french kiss à la relation mère-enfant.
Bien avant l’apparition des petits pots, les mères mâchaient la nourriture pour l’introduire directement entre les lèvres de leur bébé. D’autre personnes disent qu’à l’âge de pierre, on léchait le visage de ses pairs pour satisfaire ses besoins en sel.

Les Tamouls de Ceylan se frotte le nez comme les Lapons du nord de l’Europe avant de se lécher réciproquement la bouche et la langue.
Les Mongols, les membres de tribus du Sud-est indien, les Inuits, les Indiens blackfeet d’Amérique du Nord et plusieurs groupes africains pratiquent pour leur part le baiser olfactif.
En orient, pour se saluer, les hommes s’embrassent et se donnent l’accolade.
En France, on se donne parfois jusqu’à 4 bisous.
En Amérique, deux amoureux n’hésitent pas à échanger un « french kiss » en public. En Asie, un tel spectacle est impensable.
Les Japonais, eux, trouvent notre façon d’embrasser barbare et cannibale.
Pour les Chinois, le baiser sert carrément de préludes sexuels.
Les Esquimaux , eux, se frotte le nez ensemble pour donner un baiser.
La plupart des tribus africaines évitent les contact buccaux par peur d’avaler l’âme de leur partenaire par l’haleine.

Le baiser annonce une longue vie s’il est donné librement par un enfant, mais apporte l’inverse si l’enfant y est contraint.