Les Epicuriens découvrent quelques facettes de la vie marocaine

Les Epicuriens sur la plage d’une crique près d’Essaouira.

Les Epicuriens, un club sans statut, ni cotisation, ni contrainte, rassemble des chefs d’entreprise, des professions libérales, des artisans, un maire ou encore des commerçants. Leur seul but : s’entretenir ensemble de leur expérience et de leur savoir-faire, échanger et conclure éventuellement des affaires. C’est en 2008 que l’histoire a commencé, autour de Daniel Gobert, l’un des responsables figeacois du groupe avec Yves Chassint et Didier Roux. Chaque premier lundi du mois, l’un des membres du club organise une soirée, autour d’une table bien garnie.

Du 5 au 9 octobre, c’était au tour de Patrick Jeanjean, PDG du Choix funéraire, d’emmener une dizaine de ses pairs au Maroc visiter sa nouvelle entreprise à Essaouira chargée de rapatrier en France, les Français décédant au Maroc. «Je leur ai montré comment s’organisait mon travail, mais j’en ai profité pour leur montrer quelques autres fac7ettes professionnelles de là-bas. D’abord le marché berbère de Had Draa, l’un des plus gros du pays, avant la coopérative d’huile d’argan Ajddigue de Tidzi, qui emploie de nombreuses femmes mises au ban de la société. Puis un viticulteur venu de Châteauneuf-du-Pape qui a créé un vignoble bio. Ils ont été tous impressionnés par cette autre façon de vivre et de travailler.»

source : La Dépêche