Traces contemporaines du 16 au 19 septembre

le village du festival ne se tiendra plus place Luctérius mais place Bessières au pied du Grand Palais où nous serons moins à l’étroit et où nous comptons exploiter la façade du cinéma. Il y aura un espace restauration. Enfin, parce que la ligne symbolique choisie, Debout entre ciel et terre est plus que jamais d’actualité : on se relève, on est debout.

Quels sont les temps forts ?

La venue du chorégraphe espagnol José Agudo qui présentera à Cahors pour la première fois en France son spectacle Carmen pour la clôture du festival le dimanche à 18 heures à l’auditorium. Un extrait sera présenté place Bessières pour que ceux qui n’ont pas accès à l’auditorium. Nous verrons aussi une création jamais présentée en France, King of Uruk du même chorégraphe. Fabio Lopez qui a été nommé chevalier des arts et des lettres par la ministre de la Culture en juillet donnera des stages de danse classique. Il y a aussi le bal participatif à 22 h 30 le vendredi soir, d’autres stages et des masterclass au palais des sports et dans mon centre chorégraphique. N’oublions pas non plus le concert d’Ida y vuelta pour danser la salsa.

Un programme très dense auquel s’ajoutent les contraintes sanitaires…

Oui c’est un réel casse-tête à mettre en œuvre. Nous avons été reçus en préfecture. Le festival est soumis au pass sanitaire, nous attendons jusqu’à 5 000 personnes pendant quatre jours alors la sécurité sanitaire s’impose. Le choix a été fait de tout centraliser place Bessières plutôt que dans plusieurs lieux de la ville pour éviter les brassages. Une tente sera présente à l’entrée du festival, ici seront réalisés des tests antigéniques. Nous conseillons aux festivaliers qui n’ont pas le pass sanitaire d’anticiper leur venue. Les masques seront obligatoires à l’auditorium.

Quatre jours très denses

Jeudi 16 : soirée d’ouverture à partir de 19 heures. Vendredi 17 : carte blanche à Emmanuelle Cathala, Forward d’Edouard Hue, Eden de la compagnie Illicite Bayonne puis bal participatif. Samedi 18 : des corps dans la ville, I am now de Babacar Cissé, Molten de la compagnie d’Edouard Hue, concert de salsa avec Ida y vuelta. Dimanche 19 : Répliques par la compagnie Le grand jeté et Carmen de José Agudo. Masterclass et stages le samedi et dimanche.
Plus d’informations au 06 43 11 76 68, à lestracescontemporaines@yahoo.fr et sur www.tracescontemporaines.com Manon Adoue La Dépêche